« Je ne cours pas, mais je vais continuer à travailler, à parler et à défendre ce que je crois », a déclaré Mme Clinton à la chaîne de télévision News 12 de New York. En tant que candidate démocrate en 2016, Mme Clinton devrait devenir la première femme présidente des États-Unis, avant la défaite sous le choc de M. Trump. Si elle se représentait à l’avenir dans n’importe quelle fonction publique, a-t-elle déclaré à News 12: « Je ne pense pas. » Cet entretien est la première fois que Mme Clinton a définitivement réfuté les hypothèses selon lesquelles elle pourrait peut-être traiter à nouveau avec M. Trump en 2020. Elle a expliqué qu’elle avait eu l’occasion de s’entretenir avec plusieurs des perspectives proclamées pour la démocratie 2020. « J’ai partagé avec chacun d’entre eux, ne tenez rien pour acquis », a-t-elle déclaré. Mme Clinton a été la toute première femme candidate à la présidence d’une grande fête américaine dans son passé historique. Son ascension au poste de président était largement perçue comme presque garantie, mais elle était accusée de s’appuyer excessivement sur de riches donateurs, trop proche de Wall Street et hors de contact avec les électeurs plus jeunes. Elle a été pillée sans relâche par M. Trump, qui a poussé les foules autour du sentier stratégique à chanter « Secure her up ». Sa conquête a encouragé une période de recherche spirituelle pour le Parti démocrate, qui se prépare maintenant pour une compétition principale ouverte qui comprend déjà plus de 10 challengers qui publient un exploit. Le sénateur du Vermont et grand finaliste démocrate 2016, Bernie Sanders, sera le dernier démocrate à avoir jeté sa casquette sur le ring. Le titre de base de M. Sanders et la reconnaissance de son assistance sur la liste des partis à la gauche l’ont catapulté au premier plan. Il rejoint le sénateur du Massachusetts Elizabeth Warren, qui a été le tout premier grand label à déclarer une œuvre, aux côtés du sénateur du New Jersey, Cory California et de la sénatrice Bookala, Kamala Harris. Kirsten Gillibrand, sénatrice de la Grosse Pomme; Le sénateur du New Jersey, Cory Booker; La sénatrice du Minnesota, Amy Klobuchar; le maire de San Antonio et du Texas, Julian Castro; et aussi le maire de SouthBend et de l’Indiana, Pete Buttigieg, qui est peut-être la première personne honnêtement homosexuelle à se porter candidat à la direction. La plupart des labels dont on parle le plus doivent toutefois déclarer leurs objectifs. L’ancien vice-directeur général, Joe Biden, envisage un travail. Il apprécie la reconnaissance de la marque la plus efficace du pays et les experts affirment qu’il ferait un bond aux autres candidats pour atteindre le sommet des sondages précédents s’il devenait candidat. Beto O’Rourke, un ancien membre du Congrès de Tx qui avait suscité l’intérêt du pays alors qu’il organisait une compétition serrée entre le Sénat et le républicain en exercice Ted Cruz, a gardé les fans et les donateurs probables en attente depuis qu’il pèse sur ses alternatives. M. O’Rourke a présenté au Sénat une stratégie inhabituelle, publiant des mises à jour inédites de sites Web sociaux alors qu’il parcourait les 254 comtés à l’intérieur de l’express, alimenté par des milliers de dollars en contributions modestes.
Pas d’enquête indienne sur la vente de Rafales
La Cour suprême indienne a rejeté vendredi les appels à une enquête sur des soupçons de corruption et de trafic d’influence qui entourent la vente de Rafale à l’Inde en 2016 par le constructeur français Dassault Aviation. Ce contrat qui porte sur l’achat de 36 avions de chasse Rafale a été au centre d’un tollé politique ces derniers mois en Inde. Un conglomérat privé préféré à une entreprise publique. L’opposition accuse le gouvernement de Narendra Modi d’avoir favorisé le conglomérat privé d’un industriel présumé proche du Premier ministre, Reliance Group, au détriment de l’entreprise publique Hindustan Aeronautics Limited (HAL). Le but de Narendra Modi aurait été, selon les accusateurs, de toucher au passage une partie des montants que Dassault doit, contractuellement, en tant qu’entreprise étrangère, réinvestir dans Reliance. La Cour suprême ne veut pas « interférer ». Plusieurs pétitions de militants et hommes politiques ont réclamé l’ouverture d’une enquête par la justice, jugeant que Narendra Modi avait violé les règles des marchés publics du secteur de la Défense. La Cour suprême a refusé « d’interférer » dans l’affaire, assurant « ne pas avoir de doute quant au processus ». Déjà plus de 100 millions d’euros investis. Dassault avait négocié pendant plusieurs années avec la société indienne HAL dans le cadre d’un appel d’offres pour 126 avions de chasse, majoritairement assemblés en Inde, mais les tractations n’avaient pas abouti. Peu après l’arrivée au pouvoir du nationaliste hindou Narendra Modi, New Delhi avait annulé cette procédure et préféré acquérir directement 36 Rafale fabriqués en France pour un montant estimé à 9,4 milliards de dollars. Selon les termes du nouveau contrat, l’avionneur français s’est associé avec un partenaire indien, Reliance Group, dirigé par le magnat Anil Ambani. Cette société n’avait pourtant aucune expérience préalable dans l’aéronautique. Dassault a déjà investi plus de 100 millions d’euros dans sa co-entreprise avec Reliance à la suite du nouvel accord. Vers une nouvelle requête. La décision de vendredi est considérée comme une victoire pour le gouvernement nationaliste hindou de Narendra Modi, qui a subi une débâcle lors d’élections dans plusieurs Etats plus tôt cette semaine. Ses détracteurs ont en revanche dénoncé « une mauvaise décision ». « Nous n’allons pas abandonner notre campagne », a déclaré l’un des pétitionnaires, Prashant Bhushan, devant la Cour, envisageant de déposer une nouvelle requête. Un contrat décrié aussi en France. Le contrat est aussi décrié par certains en France. L’ONG Sherpa a ainsi porté plainte en novembre pour dénoncer les conditions de vente de ces Rafale, en particulier celles qui ont entouré le choix de Reliance. Le site d’informations Mediapart a dénoncé le financement partiel par Reliance, au moment de la finalisation de la vente, d’un film co-produit par Julie Gayet, compagne du président de l’époque, François Hollande. Ce dernier s’est défendu de tout conflit d’intérêts, affirmant que la France n’avait « pas eu le choix » du partenaire indien de Dassault. Je vous laisse le lien vers le site spécialiste de ce de baptême en L-39.
Theresa May Réchappe à Un Vote De Défiance Sur Le Brexit
Theresa May a survécu mercredi à un vote de défiance organisé par son Parti conservateur, hostile à son accord de Brexit conclu avec Bruxelles, mais avec plus d’un tiers des députés l’ayant désavouée, le combat s’annonce acharné pour faire passer le texte décrié au Parlement. Dans une courte déclaration devant sa résidence officielle du 10, Downing Street, la Première ministre britannique s’est dite « ravie » de l’appui manifesté à son égard, qui permettra de « poursuivre la mise en oeuvre du Brexit pour le peuple britannique » et de « réunifier » le pays. Elle a aussi assuré avoir « écouté » le nombre « significatif » de députés lui ayant retiré leur confiance. Mme May a obtenu le soutien de 200 députés conservateurs, contre 117 souhaitant la voir partir malgré sa concession faite aux Brexiters à l’origine de la tentative de renversement qu’elle comptait quitter ses fonctions avant les législatives de 2022. « Le parti a confiance en Theresa May », a annoncé Graham Brady, président du Comité 1922, responsable de l’organisation interne des conservateurs, après un scrutin à bulletin secret déclenché par au moins 48 députés conservateurs, soit le seuil requis de 15% du groupe parlementaire. Cette victoire, qui a fait monter la livre sterling, signifie que les Tories ne pourront plus chercher à déloger Theresa May pendant un an. Mais sa courte majorité constitue également un camouflet. – « Guerre civile » – « C’est un résultat terrible pour la Première ministre », a commenté sur la BBC Jacob Rees-Mogg, député ultra europhobe, en l’appelant à « démissionner d’urgence ». Le député Brexiter Mark Francois y voit un résultat « dévastateur ». Ce score « montre que la guerre civile chez les Tories sur le Brexit est loin d’être terminée », a tweeté le député de l’opposition travailliste Keir Starmer. Dans la matinée, Theresa May s’était montrée combative, annonçant qu’elle se battrait « de toutes ses forces » pour rester en place et « finir le travail » sur le Brexit. Si elle devait quitter Downing Street, son remplaçant choisi au sein des conservateurs « n’aurait pas le temps de renégocier » avec l’UE et cela risquerait de « retarder, voire d’arrêter le Brexit », prévu le 29 mars 2019, a-t-elle averti, ralliant plusieurs ministres, y compris ceux dont le nom est évoqué pour lui succéder. Mais le casse-tête du Brexit n’en est pas pour autant terminé. Theresa May participera jeudi et vendredi à un sommet européen à Bruxelles où elle tentera désespérément d’arracher aux dirigeants européens des « assurances juridiques et politiques » sur l’accord de Brexit à même de répondre aux inquiétudes du Parlement britannique, vent debout contre le texte. « Mme May claudique vers son prochain échec, l’accord ne passera pas et la vraie crise est proche », a prédit le héraut du Brexit Nigel Farage. L’accord de Brexit est vilipendé tant par les « Brexiters » craignant un arrimage permanent du Royaume-Uni à l’UE que par les europhiles espérant encore pouvoir faire marche arrière. Les Brexiters conservateurs, comme l’allié nord-irlandais de Theresa May, le petit parti unioniste DUP, contestent en particulier la solution dite de « backstop » ou « filet de sécurité » qui doit créer provisoirement un « territoire douanier unique », englobant l’UE et le Royaume-Uni, pour éviter le retour d’une frontière physique entre l’Irlande et l’Irlande du Nord après le Brexit. – Pas de renégociation – Face à la perspective d’un cuisant échec, elle avait annoncé lundi, à la dernière minute, le report du vote sur l’accord prévu le lendemain, promettant de le soumettre à nouveau aux députés avant le 21 janvier. Mme May a déjà rencontré mardi plusieurs dirigeants européens pour tenter d’obtenir la garantie que le backstop serait « temporaire ». Mais mercredi, Berlin et Paris ont prévenu qu’il n’était pas question de renégocier. Le Premier ministre irlandais Leo Varadkar et le président du Conseil européen Donald Tusk ont réaffirmé qu’il s’agit d’un « accord équilibré et de la meilleure solution possible », selon un communiqué diffusé par Dublin après leur entretien téléphonique dans la soirée.
Quand l’impopularité devient un problème
Emmanuel Macron a déclaré qu’il souhaitait gouverner de la même manière que le Romain notre dieu Jupiter, en se tenant au-dessus des conflits quotidiens avec les autorités. Moins de 90 jours après l’arrivée au pouvoir du président français, les numéros de téléphone de son sondage confirment à quel point il est mortel. Un sondeur centré sur le Royaume-Uni, YouGov, a noté une baisse de 7 points du statut d’acceptation du jeune dirigeant, qui est passé de 43 à 36% au cours du mois de juillet. Le sondeur français Ifop a connu une baisse comparable au cours de la même période, rappelant que: « En dehors de Jacques Chirac en juillet 1995, un nouveau directeur exécutif n’a en aucun cas vu sa réputation baisser aussi facilement en été, une fois les élections politiques terminées » La baisse de reconnaissance est vraiment un transfert brutal à partir de juin, lorsque Macron et son excellent ministre, Édouard Philippe, ont vu leurs scores d’approbation passer de 62% à 64% et de 55% à 64% en conséquence. Cependant, leur mesure de popularité n’est pas totalement au-dessus de la norme. L’ancien président François Hollande avait apprécié une autorisation de 56% au cours de la même phase de sa présidence; son précurseur, Nicolas Sarkozy, a été augmenté, se classant à 66%. Ce qui est peut-être le plus inhabituel est simplement le temps écoulé depuis que Macron a été accepté. Sa présidence a profité de nombreuses améliorations au début, notamment de réunions importantes avec des dirigeants étrangers, tels que le directeur général Trump (tous deux impliqués dans une poignée de main désormais bien connue, que Macron a ensuite acceptée, avait pour but de révéler qu’il ne ferait aucune concession). et le Russe Vladimir Poutine (au cours duquel Macron a publiquement accusé le multimédia européen d’être «des agents d’influence et de propagande»). Le récit diplomatique de Macron (la France figurait au premier rang des forces les plus douces au monde dans une enquête annuelle dépassant les deux États-Unis et la Grande-Bretagne) a été de nature à réduire les problèmes à la maison. Le politologue de l’Ifop Jérôme Fourquet a expliqué que le public français français avait suscité l’engouement pour la nomination de Poutine aux propos de Trump et de Poutine. Aucun des deux innovateurs n’est préféré. Mais il a également attribué la baisse de popularité de Macron à son intention de réviser le code du travail du pays. En plus de son budget proposé de 850 millions d’euros, le transfert du budget de protection de cette année a provoqué la démission de Common Pierre de Villiers, le chef de l’armée française. « Il a milité sur le concept de réduction du statut français pour tenter de le rendre finalement plus agressif », a expliqué le Dr David Lees, spécialiste du Warwick College spécialisé dans la politique française. « Ces choses vont se révéler impopulaires car elles impliquent une grande transformation de la manière dont la France fait des sociétés. » Cette restructuration consiste notamment à diviser le nombre de législateurs français par un tiers, à réduire les dépenses publiques en général et à appliquer plusieurs réformes économiques amicales et chaleureuses dans l’industrie (par exemple, de nouvelles directives qui offrent aux organisations une plus grande flexibilité pour embaucher et incendier des personnes).
Une gamezone d’avion de chasse
Global Star a invité GameZone à se lancer tôt dans la construction du jeu, et bien qu’il reste encore du travail à faire avant la sortie du programme, il y en avait assez pour avoir une idée solide du programme. Tout d’abord, il convient de noter que s’il y avait un manuel avec ce jeu, il n’était pas accessible via le matériel téléchargé. Il était donc nécessaire de deviner les commandes. Cependant, à son crédit, Global Star a vraiment rendu cette simulation de vol de combat accessible aux joueurs. Les éléments de contrôle (un stick Saitek Cyborg evo) étaient tous des joystick contenus et très simples à utiliser. Pour revenir en arrière, l’histoire de Jetfighter 5 a été attaquée par une coalition sino-russe dirigée par un SuperCarrier qui lance des MiG-42, des MiG-44 et un nouvel avion, le S-37. Cependant, les forces américaines sont prêtes à contrer le F-16 Fighting Falcon, le Joint Strike Fighter et le F-22 Raptor. L’objectif est simple: empêcher l’ennemi de prendre pied sur la côte ouest. Les caractéristiques du jeu incluent plus de 40 000 miles carrés de terrain texturé, quatre fois le territoire de Jetfighter 3 et plus de 180 objets différents pouvant être détruits au cours de la bataille aérienne. Mais ne pensez pas que ce soit simplement un jeu où vous utilisez la zone tridimensionnelle non obstruée du bleu sauvage. Jetfighter 5 permet aux joueurs de redescendre sur le pont, en passant sous les ponts ou en esquivant les tours de lignes à haute tension. De vraies villes, telles que San Francisco et Oakland, apparaissent dans ce jeu. Le téléchargement en avant-première était un test multijoueur, mais le fait de se connecter avec des personnes en ligne était une situation critique, la plupart du temps ratée. Mais le jeu comportait 5 scénarios, et chacun pouvait choisir le nombre d’ennemis rencontrés et le nombre de vagues dans lesquelles ils allaient attaquer, ainsi que le nombre de matchs amicaux. Une fois que le Raptor a été pris comme avion, il était temps de l’armer pour la bataille. En plus de son arme, les joueurs peuvent également choisir le type de missile à placer sur le chasseur – qui comprend des latéraux, des non-conformistes, l’AIM-120 Amraam et le MK-82 Bomb. Vous pouvez choisir votre arme pour la bataille à laquelle vous participez. Il n’y avait pas de décollage ni d’atterrissage requis. Une fois qu’un scénario a été choisi, l’action était chargée et les joueurs étaient dans le cockpit de ces chasseurs aériens mortels, hurlant, cherchant un combat. Le radar a permis d’identifier les forces ennemies. Les angles de caméra permettent aux joueurs de regarder autour du cockpit et le chapeau sur le joystick permet une vue panoramique depuis le siège du pilote. Il était également facile de basculer entre le point de vue du pilote et un angle extérieur pour observer l’avion. Je vous laisse le lien vers le site spécialiste du vol en avion de chasse.
Bricoler la norme du pouvoir d’agir des patients pour maintenir l’idéal-type du patient autonome en rusant
A l’idée de bricolage, il est possible de rajouter celle de ruse comme stratégie de coping face au refus éventuel des patients de se voir administrer des soins. J’emprunte la notion de ruse telle qu’utilisée par Hennion et ses collègues (2012) pour rendre compte de leur ethnographie de la relation de soins à domicile. S’imprégnant des cadres de pensée goffmaniens (en particulier de son usage de la fiction, 1973) et ceux de Paul Ricoeur sur le récit (1983), les auteurs envisagent la scène du soin à domicile comme porteuse d’un paradoxe fictionnel : « c’est justement pour préserver malgré tout une autonomie dont le sens même s’effrite et pour assurer une protection dont la personne ne voit plus forcément elle-même l’opportunité que, sur le tas, selon les problèmes concrets à résoudre en situation, il faut empiéter sur l’autonomie ou il faut accepter certaines prises de risque pour arriver à « sauver » l’essentiel, c’est-à-dire à maintenir une forme possible d’autonomie et de protection compte tenu de l’état des choses » (Hennion et al., 2012 : p. 329). Ces prises de risques, les auteurs leur donnent un nom contribuant à leur reconnaissance et leur valorisation : la ruse, «vue non pas comme une tromperie, mais comme un art du faire faire » (p. 326), voire du faire avec. C’est de cela dont il s’agit ici : un ensemble de dix ruses6 logées dans des micropratiques de soins permettant de maintenir l’idéal-type du patient autonome et ce faisant l’amenant à faire et à coopérer : 1. Stimuler les patients pour maintenir leurs capacités ; 2. Faire de l’humour pour instaurer un climat de confiance favorable à la coopération ; 3. Utiliser la communication non-verbale pour interagir avec les patients ; 4. Savoir lire entre les lignes grâce à l’observation pour favoriser le faire faire ; 5. Détourner les patients de leurs obsessions afin de parvenir à un échange « normal » ; 6. Faire intervenir la famille pour obtenir la coopération du patient ; 7. Avoir recours à la figure d’autorité du médecin pour contrer la famille au service des intérêts du patient ; 8. Argumenter vis-à-vis de la famille pour préserver la volonté du patient ; 9. Tempérer pour faciliter la coopération des patients ; 10. Surveiller / forcer pour sauver les capacités restantes et préserver la sécurité du personnel de soin.
Pouvoir admirer les dauphins
Dernièrement, j’ai nagé avec des dauphins à Fréjus, et le moins qu’on puisse dire, c’est que ça m’a marqué : les dauphins se sont montrés très sympathiques, et j’ai pu rester avec eux un bon moment.
Rendu curieux, j’ai voulu en apprendre plus sur ces sublimes bestiaux, et je dois dire que j’ai été épaté par ce que j’ai appris. Je savais depuis belle lurette que les dauphins étaient des mammifères, mais je ne savais pas ce que ça voulait vraiment dire. Cela veut déjà dire que le dauphin n’est pas un poisson comme les autres. La preuve : il retient sa respiration quand il nage ! En fait, il ne peut pas subsister plus de 5 minutes dans l’eau sans remonter à la surface chercher de l’oxygène ! Ensuite, la femelle n’a qu’un seul enfant à chaque fois. Ce qui est, là aussi, très différent des autres poissons. Elle le garde dans son ventre pendant 11 mois, et l’allaite en moyenne pendant 8 mois.
Mais la chose qui m’a vraiment troublé, ça reste son origine. Il y a 60 millions d’années, les ancêtres de Flipper évoluaient en effet… à même le sol ! Cet ancêtre était un quadrupède couvert de poils et doté de sabots. Vivant près des côtes, il se nourrissait de poissons et d’amphibiens. Néanmoins, un extraordinaire bouleversement climatique a un jour déclenché l’extinction de nombre d’espèces. En vue de survivre, le mésonyx a rejoint la mer ; son corps s’est progressivement transformé pour s’accorder à ce nouvel environnement : ses pattes avant se sont converties en nageoires, ses pattes arrière ont disparu, et ses narines sont allées vers le sommet du crâne pour que le dauphin soit en mesure de respirer sans sortir la tête hors de l’eau. C’est pour ça que les dauphins ont les caractéristiques des mammifères : c’est leur origine terrestre qui explique pourquoi ils sont pourvus de poumons, ne pondent pas d’oeufs, et allaitent leurs petits comme le chat, le chien ou l’homme !
Au passage, si vous avez toujours voulu savoir ce que ça faisait que de nager avec des dauphins, je vous recommande l’expérience ! Voilà le site où j’ai trouvé la mienne.
Quand Trump défend Google
Le leader américain Donald Trump a critiqué mercredi le niveau occidental de la sélection de la concurrence à 5 milliards de yuans mercredi, exprimant que l’UE a expérimenté « une bonne chose sur les Etats-Unis » Il a écrit jeudi sur Youtube: « Je vous ai informé! un bien de 5 milliards de dollars sur l’une de nos merveilleuses entreprises, Google, qui ont vraiment profité des États-Unis, mais pas trop longtemps! Trump semblait utiliser le bien antitrust comme un outil dans le conflit de l’industrie en cours avec le Western Union. Mercredi, il est vulnérable « rétribution incroyable » contre l’UE, sauf quand le bloc croit aux grandes concessions de l’industrie. Il est corrélé avec la détermination du Commissaire à la concurrence de l’Ouest à de grands moteurs de recherche la plus grande sanction antitrust nivelé sur une seule entreprise, plus que son abus de la proéminente plate-forme cellulaire Google android. Margrethe Vestager déclaré moteurs de recherche expérimentés utilisé son logiciel mobile préféré pour sauvegarder sa position de recherche. La recherche a débuté en 2015, avant de faire la cour à la présidence de Trump de plus de 12 mois, et ce n’est pas tout de suite lié à l’achat et à la vente entre les États-Unis et l’Union européenne. Vestager a été interrogé sur Trump mercredi, étant donné le cadre d’anxiété croissante entre votre UE et les États-Unis. Un journaliste a cité Trump, qui a déclaré au président de Western Payment, Jean-Claude Juncker, lors de la réunion du G7 le mois dernier: « Votre femme fiscaliste déteste les Etats-Unis. » Vestager plaisantait à quel point le document était juste à moitié vrai. « Je travaille vraiment ensemble avec l’impôt sur le revenu et je suis une fille dans l’ordre qui est tout à fait approprié », a-t-elle déclaré, mais en plus: « Je ressemble à l’Amérique ». Trump intensifie sa rhétorique contre le syndicat, décrivant l’UE comme un «ennemi» de vos États-Unis. Trump a imposé des tarifs douaniers sur l’acier et l’aluminium importés de votre UE, et envisage également de les étendre pour impliquer les voitures. Le leader est le résultat d’entretiens avec le directeur général de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, avec la Résidence de couleur blanche après ces quelques jours, où il pourrait choisir de parler du bien de Yahoo une fois de plus.
Agriculture francilienne : élaborer une stratégie régionale pour les matériaux et produits bio-sourcés
Différentes filières sont aujourd’hui implantées sur le territoire francilien : le chanvre, le lin, la paille et le miscanthus. En plus d’être une source de diversification de revenus pour les agriculteurs, ces cultures présentent de multiples avantages agronomiques : réduction des intrants, amélioration de la structure des sols, utilisation en tête d’assolement pour le chanvre ; faible apports d’azote, de phosphore et de potasse, pas d’irrigation, peu d’usage de produits phytosanitaires, frein à l’érosion des sols en hiver et utilisation en tête d’assolement pour le lin ; rétention de la pollution sur les friches industrielles et excellents rendements de production de biomasse pour le miscanthus. Pour soutenir le développement de ces filières d’avenir, la Région présentera à l’automne 2018 une stratégie dédiée aux matériaux et produits bio-sourcés issus de l’agriculture pour y créer de nouveaux emplois de la bio-économie, générer de la valeur ajoutée et réduire les émissions de gaz à effet de serre. Sur la base d’un travail de concertation associant les acteurs, cette stratégie identifiera les conditions de structuration et de développement de filières complètes, multi-débouchés et ancrées dans les territoires. L’ensemble des usages non-alimentaires et non-énergétiques seront couverts : matériaux de construction bio-sourcés, plasturgie, chimie verte, emballages pharmaceutiques, etc. Elle comportera trois axes principaux pour structurer une offre régionale compétitive, soutenir la demande et stimuler l’innovation dans la filière. Afin de développer l’utilisation des matériaux et produits biosourcés dans la commande publique – et ainsi leur offrir des perspectives de marché – la Région travaillera aux côtés des acteurs de la filière sur un critère « carbone renouvelable ». Certaines actions ont d’ores et déjà été initiées dans le cadre de la stratégie régionale pour la forêt et le bois votée par le Conseil Régional en novembre 2017 : mise en place d’un appel à projet à destination des maîtres d’ouvrage publics afin de déclencher le réflexe boisbiosourcés dans la construction et la rénovation, l’exemplarité de la Région en tant que maître d’ouvrage des lycées d’Ile-de-France et création d’un cluster bois-biosourcés en Ile-de-France.
La motivation en question
Tandis que les employeurs peinent fréquemment à inculquer de la motivation et de la cohésion à leurs employés, l’incentive apparaît comme un nécessaire antidote. Avant tout, qu’est-ce que l’incentive ? L’incentive, c’est l’art de motiver des équipes. Son objectif consiste à de faire naître un sentiment d’unité entre les équipes, de les pousser afin qu’elles soignent les objectifs. Et de faire en sorte que les employés n’éprouvent pas l’envie de quitter leur entreprise. Qu’il soit constitué d’un challenge commercial et/ou d’une excursion lointain, l’incentive est un événement fertile à la fois pour les employés et le directeur. Le challenge commercial reste cependant une solution précieuse à prospecter pour neutraliser l’abattement du marché en crise, et tout spécialement pour approprier des parts de marché à la concurrence.
Un incentive productif ne se contente cependant pas une simple activité : il doit encourager l’expansion d’un esprit d’équipe et encourager toutes les équipes de collaborer, notamment via des animations créatives et collaboratives. Il apparaît de plus en plus décisif que les employés apprennent rapidement à se connaître. En effet, la souplesse grandissante de l’entreprise fait que les employés sont en continuel révolution. C’est pour cette raison qu’ il n’est pas inutile de participer à la création de rapports et d’objectifs communs entre les individus. Cela s’avère d’autant plus nécessaire qu’avec la généralisation des échanges par Web, les équipes n’ont plus de contact de visu et donc se connaissent moins. Un incentive donne une occasion d’améliorer la façon d’interagir entre eux dans le cadre de l’entreprise. Terme générique anglo-saxon, l’incentive signale une activité contribuant des individus ou à des groupes de se stimuler, la plupart du temps en allouant un prix en échange d’une action à remplir. Il englobe les idées de motivation et de stimulation. L’incentive est par conséquent échafaudé par l’employeur pour rehausser la motivation de ses collaborateurs, en vue d’réaliser des objectifs. « Un séminaire ou un séjour incentive constitue clairement un pari, pourtant il peut se révéler très avantageux en termes de cohésion efficace, d’ambiance entre les employés et même de pacification sociale”, examine Maxime Gauthier, directeur de HLSystem . Il y a plusieurs espèces d’incentive. Un des plus appréciés au sein des entreprises est bien sûr le challenge commercial. La cible de cet évènement est la majoration de la marge et du chiffre. Mais c’est un exercice difficile, où il vaut mieux prêter attention à ajuster les dotations selon l’équipe à laquelle on a affaire. Effectivement, les employés vaincus peuvent se sentir encore plus marginalisés. Le risque est de ruiner la dynamique de groupe qui unit un groupe en assistant l’émergence d’une « élite » et de neutraliser la motivation d’autres des employés. Une contre-performance, en somme ! Un second catégorie d’incentive est le voyage, dont l’objectif est de favoriser la cohésion de l’équipe en la implantant dans un environnement inconnu. L’intérêt qu’il y a à adopter une destination lointaine et ensoleillée tient aussi dans le côté récompense de l’évènement. Quand il fait 6 degrés à Paris, difficile de faire plus sympathique que de se retrouver à la Réunion où il fait plus de 28 °. Le cadre luxueux ou inaccoutumé du déplacement est un plus.
Les actions organisées dans ce cadre, si elles sont collaboratives, poussent par conséquent aux compagnons de mieux se connaître et de créer des liens qui n’auraient pu se tisser dans le milieu de l’entreprise.
A l’employeur ensuite de préserver le retant de l’année la flamme embrasée par l’incentive en faisant évoluer son management. Effectivement, si un événement incentive créatif peut faire progresser l’efficience des entreprises, une altération durable des relations de travail ne pourra se constituer que s’il est renforcé par un management qui facilite la création des espaces, des moments de créativité de la part des salariés. Par conséquent, un incentive, qu’il soit sous l’aspect d’un atelier créatif ou d’un challenge commercial, ne sera assurément positif que s’il est l’extension d’une culture plus large s’appuyant sur la créativité des employés.